L’histoire de cette femme, Dorcas Kagengo, 50 ans, dont la nationalité n’a pas été révélée, va vous retourner. Dans une vidéo, qui fait le tour des réseaux sociaux, on apprend que la quinquagénaire mendie, aujourd’hui, pour subvenir à ses besoins, alors que, selon les détails de sa triste histoire, elle était riche.
Depuis quelques jours, une vidéo circule sur les réseaux sociaux, et raconte l’histoire émouvante d’une femme, autrefois, riche, et, aujourd’hui, pauvre, au point de mendier dans la rue, pour subvenir à ses besoins.
Du nom de Dorcas Kagengo et âgée de 50 ans, l’histoire de cette femme, dont la nationalité n’a pas été révélée, a touché plus d’un, même si son cas n’est pas une première en la matière. Selon les détails de l’histoire, Dorcas est née dans un foyer brisé, et ne connaît, jusqu’à présent, pas l’identité de son père. D’après ses propres dires, elle a décroché le jackpot, alors qu’elle n’avait que la trentaine. Dès lors, dit-elle, elle a commencé par s’acheter des maisons et des voitures de luxe.
À l’en croire, à 33 ans, dame Dorcas Kagengo avait été embauchée, en tant qu’administratrice de bureau, métier, qui lui a permis d’amasser une énorme fortune. Avec cette fortune, qui avoisinait le milliard de FCFA, précise-t-elle, elle ne faisait qu’acheter de belles choses.
Malheureusement, avoue-t-elle, les choses vont mal se passer pour elle, alors qu’elle était partie pour l’Arabie Saoudite, dans l’espoir de trouver un travail, précise-t-elle, beaucoup plus rémunérateur. C’est-là, explique-t-elle, que le destin a semblé s’être acharné sur elle. Comme elle le raconte, elle-même, dans le Golfe, elle a dû faire face à de sérieux soucis de santé, en l’occurence, insuffisance rénale et diabète, ce qui l’a obligée à rentrer dans son pays d’origine.
À son retour, informe-t-elle, elle s’est vue, obligée de vendre ses biens, afin de pouvoir payer ses soins de santé. Finalement, Dorcas Kagengo, qui se retrouve dans le dénuement total, lance un appel aux bonnes volontés.
Il convient de préciser que l’infortunée s’est fait payer un droit de visite par Afrimax, qui fait le devoir de partager son histoire bouleversante.